Cette fois, on y est !
Flashback : mars 2022 pour les Américains, juillet 2022 pour les Européens marquent dans les deux cas le début d’une hausse de taux d’intérêts lourde de conséquences pour les foyers de ces zones monétaires.
Lire l'articleFlashback : mars 2022 pour les Américains, juillet 2022 pour les Européens marquent dans les deux cas le début d’une hausse de taux d’intérêts lourde de conséquences pour les foyers de ces zones monétaires.
Lire l'articleDécouvrez la dernière analyse économique d'Aykut Efe (Economist & Strategist)
Découvrez notre positionnement stratégique qui constitue la base de nos conseils et gestions.
Le mois de septembre finit dans le vert sur les marchés boursiers, après la période de volatilité assez extraordinaire qui a marqué août.
Un mois d’août marqué par la volatilité vient de s’achever sur les marchés financiers. Pour autant, les performances demeurent dans le vert : les actions globales gagnent 0,44%, les actions européennes ont engrangé 1,60% tandis que leurs homologues américaines n’ont rapporté que 0,20%.
Un mois de juillet intéressant vient de s’écouler sur les marchés financiers, avec un retour de la volatilité sur les « méga cap » sur fond de rotation sectorielle.
La volatilité a fait son grand retour sur les marchés financiers après des mois de hausse plutôt stable. Vendredi, le S&P 500 a perdu près de 2%, notamment en raison des valeurs technologiques qui ont connu une journée difficile.
D’abord vainqueur du débat politique qui l’opposait à un Joe Biden sortant clairement affaibli de cet exercice, Donald Trump échappe dans la foulée à une tentative d’assassinat. Autant dire que les probabilités que le candidat républicain retourne à la Maison-Blanche 4 ans après son premier mandat ont sérieusement grimpé.
Juin a vu les marchés globaux poursuivre leur hausse (plus de 3% en EUR) sans se montrer troublés par l’ambiance morose qui a suivi les résultats des élections européennes et la crise gouvernementale made in France.
Nous nous sommes tous demandé où était passé le soleil en mai. C’est bien sur les marchés actions qu’il se trouvait car mai a marqué leur reprise après un mois d’avril été teinté de volatilité. En effet, les actions globales ont pris près de 2,5% en euros, pour retrouver voire dépasser les sommets que les indices boursiers ont atteint fin mars.
À l’issue du mois de mars, alors que se clôture le premier trimestre de l’année, les investisseurs continuent de profiter d’un environnement très favorable.
Janvier a été porteur pour les marchés actions dont la trajectoire haussière s’est poursuivie dans la lignée du dernier trimestre de l’année 2023. Ainsi, les actions globales ont rapporté près de 3% en euros, tirées par les marchés américains (+3,5% en euros) qui surfent toujours sur la vague de l’intelligence artificielle. En Europe, la performance est positive, mais reste plus modeste que celle des États-Unis puisqu’elle s’affiche à 1,6%. Quant aux marchés émergents, ils sont toujours à la peine car ils continuent de faire les frais d’une économie chinoise en pleine crise immobilière.
Les marchés financiers ont continué d’être porteurs durant le mois de février, les bonnes performances des actions notamment ont encore donné le la. L’indice d’actions globales s’inscrit en hausse de 4,7% en euros, et signe une performance de plus de 7% sur 2024, qui l’amène à continuer sur sa lancée.
Les marchés financiers clôturent l’année 2023 sur une note très positive : des données économiques très favorables indiquent une économie résiliente, l’inflation se stabilise et la Banque centrale américaine (Fed) ouvre la porte à des baisses de taux en 2024. En somme, les marchés adhèrent quasi pleinement au fameux soft landing.